La Réunion – Le piton de la fournaise se réveille

Après plusieurs jours d’accalmie, le volcan se réveille.

Ces photos ont été prises le samedi 31/10/2015 entre 14 h et 17 h, 

dans une atmosphère de fin du monde, puis de calme absolue. 

La Réunion - Diagonale des fous

La course est d’abord et avant tout une aventure. Une aventure individuelle pour qui en prend le départ, un accomplissement individuel aussi pour celles et ceux qui « bouclent » le parcours et deviennent ainsi des « finishers », mais aussi, et même surtout, une aventure collective, patrimoniale et identitaire.

Thierry Simon, 

Directeur du département de géographie
 de l’université de La Réunion.

       164 km        9917 m de dénivelé positif...

Le départ de la course a été donné à 22 heure, la veille. 

Les photographies qui suivent ont été faites à Cylaos, en fin de matinée, après 'seulement ...' 64 km de course. 

Les premiers coureurs sont passés aux environs de 4 heure du matin, les derniers passeront vers 17 heure, ou abandonneront la course, car sur la suite du parcours (Cirque de Mafate inaccessible en voiture) l'assistance sera très réduite...

Mon objectif principal était de me focaliser sur les anonymes, leurs fatigues, leurs interrogations sur la suite de la course, leurs courages, et sur l'aventure collective.

La Réunion - Le piton de la fournaise en éruption

Une approche trop tardive ne nous a pas permis d'arriver avant la tombée de la nuit.
Ceci a donc compliqué les réglages pour prendre les clichés.
Le lendemain, l'éruption du volcan était stoppée...
Une nouvelle éruption depuis 2 jours est en cours mais l'accès au volcan est interdit pour des raisons de sécurité.
A suivre ...

La Réunion - Entre Bourg Murat et le piton de la fournaise

La route d'accès au volcan près de Bourg Murat est superbe : des champs, des arbres, des vaches (un Jura Réunionnais...), et, en arrière plan, le piton des neiges.
Les photographies suivantes ont été prises dans un intervalle de 15 minutes.
Il  était environ 19 heure et la lumière du soleil déjà couchant, les nuages très cotonneux, et le vent composaient des tableaux en perpétuel évolution.